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Florent

Florent, 33 ans, opérateur machine

Arrivée le 20 septembre 2021

Comment as-tu connu l’Herbier du Diois ?

Étant natif du Diois, j’ai toujours connu l’Herbier. Et puis après j’ai rencontré des gens qui travaillaient ici. J’ai postulé à une offre qu’il y avait sur le site, et j’ai été reçu. Après discussion avec Tijlbert et Julie, j’ai finalement été embauché comme salarié de l’exploitation agricole. Pour le moment je travaille dans l’usine, mais dès que la saison va reprendre, normalement j’assurerai des missions sur la ferme.

Quel est ton parcours en quelques mots ? Que faisais-tu juste avant de nous rejoindre ?

Je suis descendu à Montélimar faire des études forestières pendant quatre ans. Au départ je voulais devenir garde forestier. Je me suis ensuite recentré en faisait des études pour être ouvrier sylviculteur. Puis j’ai finalement enchaîné avec des études agricoles pour reprendre l’activité de mon père : d’abord un BEP à la MFR de Divajeu près de Crest puis un Bac pro au CFPPA à Die en « Gestion d’exploitation en agriculture biologique ». Avant d’arriver l’Herbier et ce pendant dix ans, j’étais chef d’entreprise de l’exploitation agricole familiale en polyculture-élevage.

Qu’est-ce qui t’a motivé/plu pour venir travailler ici ?

Le fait de rester dans le milieu agricole. Travailler avec des plantes, découvrir la transformation des plantes aromatiques. Et puis sur le poste en lui-même, cela me plait de pouvoir basculer sur la ferme pendant la haute saison.

Qu’est-ce qui t’a marqué la première fois que tu as visité l’entreprise ?

La taille de l’entreprise et les volumes produits ! De savoir que la matière arrive en vrac et de découvrir toutes les étapes de transformation avant l’expédition au client.

Quelle est la valeur qui te parle le plus à l’Herbier ?

La valeur humaine. C’est une entreprise assez grande, près de 80 salariés, et pourtant on sent qu’il y a de fortes valeurs familiales.

Qu’est-ce qui te caractérise en trois/quatre mots ?

Travailleur, le cœur sur la main et bon vivant.

Te sens-tu acteur au quotidien face au changement climatique ? Si oui, comment ?

Un truc tout simple, je trie mes déchets. Je fais un jardin, donc en pleine saison je suis quasiment autonome sur cet aspect. Je réalise mes achats en conscience. Je réfléchis toujours avant d’acheter quelque chose : est-ce que cela va me servir, est-ce que j’en ai vraiment besoin ? Et puis côté transport, dès la fin de la saison froide passée, je compte venir à l’Herbier à pied ou à vélo.